Kittel, Kittel, Kittel Kittel

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L'étape était promise aux sprinteurs, personne n'a pu empêcher les gros bras (et les grosses cuisses) du peloton d'en découdre. Loin devant les autres, il y a Marcel Kittel

C'est un peloton amputé de quelques éléments qui a pris le départ de cette dixième étape qui emmène le peloton dans le sud-ouest vers le Périgord. De Périgeud à Bergerac, il n'y a pas de difficulté majeure: la dernière ligne droite est promise à un sprinteur.

Pourtant, dès le kilomètre zéro, un homme fausse compagnie au peloton. Et c'est encore un coureur de l'équipe Wanty-Groupe Gobert: Yoann Offredo. Le Français, qui découvre le Tour sur le tard et qui avait déjà tanté sa chance lors de la première étape vers Liège, est à nouveau à l'attaque. Mais il hésite, car si le peloton a l'air de le laisser partir, il n'a pas envire de s'échapper seul. Heureusement pour lui, Elie Gesbert l'accompage.

Comme lors des autres étapes promises aux sprinteur, l'écart ne dépasse jamais les 5 minutes. La course folle des deux hommes est promise à l'échec. Ils vont se partager les points des petits côtes du jour et le sprint intermédiaire. Le peloton se dispute le reste derrière et à ce petit jeu Greipel reprend 15 points à Kittel, qui ne participe pas vraiment aux sprints inermédiaires: seule la victoire est belle pour l'Allemand.

Les deux hommes de tête sont repris à 7 kilomètres de l'arrivée, les trains des sprinteurs peuvent se mettre en route. L'équipe Lotto-Soudal emmène à toute allure pour André Greipel. Le Gorille de Rostock n'a pas encore gagné sur ce Tour. Après le dernier virage, à 500 mètres de la ligne, Kittel produit son effort et termine loin, très loin devant tout le monde. Il remporte donc sa quatrième victoire d'étape et consolide son maillot vert.

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