La lanterne rouge du Tour optimiste
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Être lanterne rouge du Tour de France est loin de signifier un manque de qualités du coureur. Olivier Le Gac, dernier du classement général depuis la troisième étape, en sait quelque chose. Surtout que cette lanterne rouge a de l'importance pour lui...
"C'est un peu particulier. Mais quand j'ai hérité de cette place, ça n'avait pas vraiment d'importance. J'étais malade. Je n'ai rien pu manger sur le vélo pendant deux jours. Le fait d'être lanterne rouge m'a quand même permis d'avoir plus de soutien et de reconnaissance. C'était peut-être une bonne chose. Cela m'a permis de tenir", a expliqué Olivier Le Gac à la RTBF.
Le Gac se montre toutefois assez optimiste pour la suite du Tour de France. "Que je sois dernier, 150e ou 100e, c'est pareil. Je vais faire de mon mieux, essayer de me montrer et peut-être aller dans une échappée."
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