Pourquoi les Grands Tours ne sourient plus aux purs grimpeurs? L'analyse de Romain Bardet

Pourquoi les Grands Tours ne sourient plus aux purs grimpeurs? L'analyse de Romain Bardet

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Romain Bardet rêve encore d'accrocher un Grand Tour à son palmarès, mais il sait que c'est devenu plus compliqué pour les coureurs comme lui.

 Monté sur le podium de Liège-Bastogne-Liège et aussi des championnats d’un monde en fin de saison, c’est quasiment dans l’est courses d’un jour que Romain Bardet a réussi sa saison 2018.

Il n’a pourtant pas démérité sur l’ensemble Tour de France, mais il visait bien plus qu’une septième place au classement final. Toujours est-il que le Français voudra encore briller sur les courses de trois semaines en 2019.

Mais il l’admet, c’est devenu de plus en plus compliqué pour les purs grimpeurs comme lui de faire la guerre aux coureurs comme Froome, Thomas ou Yates qui ont remporté les trois Grands Tours cette année.

Et pour le Français, c’est dans la construction des parcours qu’il faut chercher l’explixation à cet état de fait: "Pour que les grimpeurs aient une chance, il faut plus d'étapes de montagnes consécutives. Deux, ce n’est pas assez pour mettre des grimpeurs-rouleurs en difficulté, il en faudrait au moins trois", explique le leader d’AG2R à l’Equipe. Trouvera-t-il son bonheur en 2019? 

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